Le virus a survécu. L’humanité, elle, vacille encore.
Près de trente ans après la première contamination, le Virus n’a pas disparu. Il a simplement changé de forme… et de terrain. Tandis que les grandes villes sont depuis longtemps à l’abandon, une poignée de survivants s’est retranchée sur une île coupée du monde, reliée au continent par une unique route sous surveillance. Là, une fragile routine s’est installée — jusqu’au jour où un habitant est envoyé en reconnaissance. Ce qu’il découvre dépasse l’entendement : les infectés ont muté, et d’autres survivants rôdent, déformés par la peur, la rage ou pire. Dans 28 ans plus tard, la survie n’est plus une question de force, mais de ce qu’il reste à perdre.